Moulaye Ahmed dit Bessam sauve la Mauritanie d’un match nul à domicile ce vendredi en match amical à Nouckchott face au Bénin. Grâce à un penalty transformé à la 90è, l’attaquant du FC Nouadhibou fait gagner son équipe 1-0.
Le projet de révision constitutionnelle en Mauritanie, qui prévoit notamment la suppression du Sénat et le changement du drapeau national, sera soumis à référendum "le plus rapidement possible", a annoncé le président mauritanien mercredi soir après le rejet du texte par le Sénat.
Au moins, deux officiers de l’armée mauritanienne, ont été arrêtés à Nouakchott, 24 heures après le rejet inattendu des sénateurs du projet de révision constitutionnelle, révèlent des sources.
Les mobiles de l’interpellation des deux hauts gradés, qui font actuellement l’objet d’une enquête, n’ont pas encore été identifiés.
C’est une première dans les annales de l’histoire de la démocratie mauritanienne, particulièrement au niveau de l’hémicycle parlementaire, : la majorité présidentielle vote contre la volonté du Chef de l’Etat, du gouvernement et du parti au pouvoir et fait avorter leur cher projet de révision constitutionnelle, suscitant un élan de compliments et de félicitations chez l’opposition et l’opinion publique pour avoir, une fois n’est pas coutume, consac
La sénatrice Maalouma Mint El Meydah dit ne pas avoir constaté de pression de la part du président sur les sénateurs .ll nous a traité démocratiquement et a laissé aux sénateurs leur choix.
Elle a ajouté que ce résultat (vote des sénateurs) est une réaction à une série de problèmes au sein la majorité elle même.
Pourquoi notre sulfureux putschiste voulait supprimer hystériquement le Sénat ?!
« Il faut que le pouvoir arrête le pouvoir », criait au 18eme siècle Montesquieu. Le grand théoricien des Checks & Balances n’avait pas tort. Au contraire, ses principes élaborés sur la séparation des pouvoirs sont plus que jamais d’actualité partout à travers le monde.
La plénière du sénat consacrée à l’examen du projet de loi constitutionnelle portant révision de la constitution du 20 juillet 1991 et ses textes modificatifs a été clôturée vendredi soir, sous la présidence de M. Mohamed El Hacen Ould El Hadj, président de la chambre haute et en présence du ministre de la défense nationale, M. Diallo Mamadou Bathia.
Des sources bien informées rapportent que le Président Mohamed Ould Abdel Aziz présenterait sa démission dans le cas où les sénateurs rejetteraient le projet des amendements constitutionnels.
Saâd-Eddine El Othmani, membre de la direction et président du Conseil national du PJD, a été reçu au Palais royal de Casablanca par le roi Mohammed VI qui l'a chargé de former un nouveau gouvernement.