La paisible localité de Voulaniya, commune du Hodh El Gharbi dépendant de la moughataa de Kobéni, à cheval sur la frontière malienne a connu en début de semaine beaucoup de remous.
Le Guidimagha est marqué par une faible couverture des services essentiels de qualité en matière de santé depuis des années. Malgré une couverture sanitaire relativement existante sur l’étendue du territoire régional, on déplore la qualité des services dans les structures de santé aussi bien à l’intérieur de la région qu’à la capitale régionale Selibaby.
Le ministère mauritanien des affaires étrangères a convoqué l’ambassadeur du Mali accrédité à Nouakchott, pour protester contre les crimes récurrents perpétrés par l’armée malienne contre des Mauritaniens.
Mamadou SARR mérite votre soutien afin de bénéficier des soins dont il a besoin de manière urgente !
Mamadou SARR âgé de 44 ans, a développé une maladie qui a commencé par un pied enflé avec des ampoules sur la peau. Malgré des traitements traditionnels et des consultations auprès de marabouts, sa condition n’a fait qu’empirer.
Devant le succès remporté par son premier recueil de nouvelles en 2022, Elbane Hamady, 1er adjoint de Saint-Symphorien, également professeur de mathématiques, publie un second ouvrage qui promène le lecteur de la Bretagne à la Mauritanie.
Les organisations de la Coordination Contre l’Esclavage et ses Séquelles (C.C.E.S), ont rendu public le communiqué ci-dessous, dans lequel, il ont lancé un appel à tous les hommes et les femmes épris de paix, de justice et soucieux de la défense de la démocratie et des droits de l’homme, afin d’apporter leur soutien au député Biram Dah Abeid, « devenu la première cible du pouvoir en place et de ses alliés politiques », ont-elles affirmé.
C’est d’abord le niveau élevé de confiance des dirigeants africains à notre égard et à l’égard de notre Président.
Comme en 1971 lorsque l’OUA devenue depuis l’U.A. nous a fait gagner des batailles mémorables avec l’action inlassable d’un homme, Maître Moktar Ould Daddah qui incarnait la volonté de tout un peuple d’aider à la libération de tout le continent.
7 femmes et 14 hommes, anciens esclaves de la tribu Tajakant, entament une deuxième semaine de garde à vue à l’intérieur des cachots insalubres du commissariat de police de Rkiz, après une expression de mécontentement sans violence, contre la spoliation de leurs terres de culture, au profit des maîtres d’hier.