
Le grand désordre causé par la marche contre la haine ce mercredi 9 janvier courant a entrainé l’effondrement de la tribune, à partir de laquelle le Président Mohamed Ould Abdel Aziz devait s’adresser aux foules nombreuses mobilisées par le gouvernement, le parti au pouvoir, les formations de la majorité et certains partis de l’opposition dialoguiste, pour dénoncer la xénophobie.