
L’Afrique n’a pas besoin d’un président de la BAD de plus. Elle a besoin d’un dirigeant à la hauteur de ses aspirations : Sidi Ould Tah incarne cette exigence.
À la croisée des crises climatiques, des besoins de financement massif, et des attentes pressantes de sa jeunesse, notre continent doit pouvoir compter sur sa Banque de Développement forte, lucide et indépendante.
Et cela commence par un choix de leadership.