Le ministre secrétaire général de la Présidence de la République, M. Adama Bokar Soko, a annoncé, dimanche après-midi, lors d’un point de presse au palais présidentiel, la composition du nouveau gouvernement.
Pourquoi certains responsables et journalistes des médias publics ont-ils vraisemblablement dissimulé la gabegie, au cours de la décennie et de la période d'avant, couvert et au-delà glorifié ses auteurs ?
Pourquoi, ont-ils loué les actes de ces auteurs de gabegie qu’ils ont aussi qualifié de toutes les qualités humaines et décrit comme des «sains» lavés de tous «défauts» et au-dessus de tous soupçons et obscénités ?
«Je ne sais pas l’ampleur des pressions qui seront exercées sur le Procureur de la République Ahmed Ould Abdoullah, qui a hérité le rapport de la commission d’enquête parlementaire.
Les personnes qui occupent des postes gouvernementaux s’exposent de manière générale, à des pressions multiples dont certaines sont rudes et d'autres douces.
Je profitai alors de la lassitude qui semblait s’emparer de l’auditoire, spécialement des trois députés qui m’avaient interrogé (deux UPR et un « Frère musulman »), pour exprimer à haute voix la déception que je ressentais, eu égard aux motivations qui avaient présidé à ma convocation publique devant la Commission.
La seconde arrivée au siège de l’Assemblée nationale fut la bonne, car un employé de l’auguste institution m’attendait à l’entrée de l’immeuble et me conduisit solennellement dans ce qui semblait être une cafétéria, sans le moindre client à l’intérieur.
Les médias du pays, aussi bien ceux aux capitaux détenus par l'Etat que ceux du privé, sont plongés depuis des années dans une profonde crise structurelle. Le gouvernement a donc décidé d'initier une réforme, d'abord avec l'instauration par le président d'une Commission nationale. Explications.
Quel est le statut juridique d’un ancien Président de la République ? Bénéficie-t-il d’une immunité pour des actes accomplis dans le cadre de l’exercice de la fonction présidentielle et si, oui, quelle est la nature et quelles sont les limites de cette immunité ?
La situation épidémiologique de la covid-19 en Mauritanie a été marquée ce jeudi 16 juilllet courant, au cours de ces dernières 24 heures (de mercredi soir à jeudi en fin d'après-midi) par 163 guérisons, 1 décès et 95 nouveaux cas confirmés de contamination, selon le directeur général de la Santé, Dr. Sidi Ould Zahaf, lors de son point de presse quotidien.
Le réalisateur mauritanien Abderramane Ould Ahmed Salem s’est confié sur ses liens avec la dame arrêtée dans le cadre de la disparition de fonds de la Banque Centrale de Mauritanie (BCM), en sa qualité de responsable des foires organisées par cette institution.
Plus de 5 000 prestataires de services de l’enseignement sont exposés à un sort incertain, après avoir souffert pendant sept mois et gouté à l’humiliation, en raison d’un contrat qui tue tout espoir.