La police mauritanienne au Guidimakha, a arrêté 4 leaders de l’Initiative pour la Résurgence Abolitionniste (IRA), dont son responsable des relations extérieures Balla Touré, rapportent des sources.
Le Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD) a suivi avec beaucoup de préoccupation la grève pacifique des transporteurs et le mouvement de refus populaire qui l’a accompagnée, suite aux mesures irréfléchies prises par le ministère des transports.
Le parti a enregistré avec étonnement l’absence d’un dispositif de sécurité visant à prévenir toute velléité de désordre.
Le site « meyadin.net » bien informé -qui rapporte la nouvelle- a indiqué que la surprise de tous , était la cohésion des inculpés à nier les faits qui leur sont reprochés devant le procureur. Et ce, , malgré les preuves à leur encontre ,constatées et émises par la police judiciaire.
L’activiste française Marie Ofray a indiqué dans une déclaration à « Zahraa.mr » que Le gouvernement mauritanien l’ a suspecte de travailler pour le compte des organisations non reconnues (IRA – Touche pas ma nationalité), et lui a demandé de quitter le territoire de la Mauritanie avant le 2 Avril 2017.
Mardi 25 avril dernier, l’AMSME a assisté et accompagné devant la police et le tribunal un mineur victime d’une agression physique sévère perpétuée par son enseignant.
L’enfant nommé Idoumou Ould Cheikhna né en 2011 à Dar Naim a été sauvagement agressé, torturé par son enseignant Brahim Camara qui est à la fois directeur de l’école privée Melika et enseignant dans de cette école.
Les divergences internes font partir en rangs dispersés, les activités organisées par le Manifeste pour les droits politiques, économiques et sociaux des Haratines, à l’occasion de la célébration de son anniversaire annuel, 12 mois après le décès de son premier leader, feu l’ambassadeur Mohamed Said Ould Hamody.
La sénatrice et chanteuse Maalouma Mint Meïdah a réuni ce dimanche 23 avril à l’Ambassador un gratin d’hommes politiques, d’anonymes, d'acteurs de la société civile, d’amis et d’artistes pour célébrer la nuit de la "nuit nationale" boycottée par l’Union pour la République (UPR).
Haidara : C’est la plus difficile Edition réalisée. Les volontaires et moi sommes très et très heureux d’avoir arrivé à ce résultat. Cette septième Edition est la première où je me suis complètement déchargé sur les volontaires qui ont fait un excellent travail.
La sénatrice Maalouma Mint El Meydah a indiqué que la soirée qu’elle organise ce soir à Nouakchott vise à faire entendre la voix des représentants du peuple aux décideurs.