- Dans son point de presse hebdomadaire tenu à la fin des travaux du conseil des ministres, Mohamed Lemine O. Cheikh a nié l’existence sur le marché national du riz d’origine plastique, comme l’avait annoncé différents sites électroniques nationaux.
Alors que la guerre contre le sous développement bat de l’aile et que les idées pour l’emporter agonisent, celle du front des partis politiques en herbe sèche va tambours battants vers des butins égoïstes, maigres et désolants.
Mohamedou Sellahi se confie à CBS News : "pendant 70 jours consécutifs, j'ai été mis sur un bateau et forcé de boire de l'eau salée, jusqu’à l’étouffement"
Mohamedou Ould Sellahi, a été maintenu en détention, malgré l’absence d’un chef d’accusation, pendant 14 ans dans la prison, à la mauvaise réputation Guantanamo.
Depuis janvier 2017 que nos 2000 tonnes de carottes ont atteint leur maturité et que nos agriculteurs (dont une trentaines se sont déplacés hier 12 Mars à Atar pour réclamer l’aide du Gouvernement)par défaut de transport de leur production à Nouakchott )-arrosent nuits et jours dans le sol pour éviter leur desséchement dans l’espoir d’une réaction à mes multiples lettres adressées au Ministère de l’Agriculture S/C de la voie hiérarchique.
Lors du très attendu débat sur les amendements constitutionnels, les discussions sont sorties de l’ordinaire. Elles n’ont pas concerné que les « oppositions » sur le pour et le contre de ces amendements qui touchent, entre autres propositions du gouvernement, la suppression du sénat (et son remplacement par des conseils régionaux), la réécriture de l’hymne national et l’ajout de deux bandes rouges au drapeau.
L'Assemblée Nationale mauritanienne a adopté, jeudi, au cours d'une séance plénière tenue sous la présidence de M. Mohamed Ould Boilil, président de cette chambre, le projet de loi constitutionnelle portant révision de la constitution du 20 juillet 1991 et ses textes modificatifs, par plus de la majorité qualifiée des deux tiers.
Les députés mauritaniens ont adopté le jeudi dernier, un projet de révision constitutionnelle qui prévoit entre autres, la suppression du sénat et de la haute cour de justice. Au moment où le pouvoir croyait la réforme déjà acquise, voilà que l’opposition, reconnue pour sa faible représentativité au parlement, fait déferler des milliers de Mauritaniens dans les rues depuis les samedi 11 et dimanche 12 mars, demandant au Sénat de rejeter la loi.
L’Etablissement RAHMA AL MOUHDAT a organisé, en collaboration avec le Centre Fatima Zahra (Egypte), un colloque scientifique à Nouakchott sous le thème : « La ventouse entre médecine moderne et médecine traditionnelle ».
Le porte-parole du Gouvernement a balayé jeudi d’un revers de la main la déclaration du FNDU, accusant les autorités mauritaniennes d’avoir fait preuve de "répression sauvage" en marge d’un sit-in organisé mercredi 7 mars pour dénoncer le tripatouillage de la Constitution.