
Le gouvernement a tenu à faire ce lundi une mise au point sur la terminologie qui a été utilisée pour qualifier les fugitifs durant leur cavale, disant qu'il ne faudrait pas les traiter de salafistes mais plutôt de terroristes.
Raison invoquée : les évadés ont tué de sang froid deux gardes et blessé deux autres au cours de leur forcing pour s'extraire de la prison centrale de Nouakchott, précise le gouvernement